NÉO-NATURO-THÉRAPIE

connaissances & pratiques
pour aider son corps à se régénérer
peu importe l'état de santé actuel


techniques de purification
basées sur la puissance
des Éléments de la Nature

[ LES DIAGNOSTICS FATALISTES ]
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LA
NÉO-NATURO-THÉRAPIE
DE VOTRE ÉTAT
DE SANTÉ ACTUELLE.

Un rapport d'au moins
30 pages décrivant la source et le développement de vos malaises... et proposant des actions naturelles et simples en harmonie avec la Nature.

POUR EN SAVOIR PLUS ->
Le cercle bleu représente l'Univers.
L'étoile verte, le corps humain composé des cinq Éléments.
Le pentagone rouge, basé sur le nombre d'or, est l'instruction du lien entre les Éléments. Représente également les croyances fortement ancrées dans les cerveaux humains depuis des siècles qu'il faut dissoudre.
Les cercles centraux (deux serpentins) représentent l'Énergie vitale, Yin-Yang et les sept centres d'Énergie.
L'arc de cercle marron pointillé représente l'Énergie tellurique.
C'est un crime de diagnostiquer une maladie incurable. Comment un médecin peut-il condamner un individu à une mort certaine dans trois mois, alors qu'il ne sait même pas la cause des maladies et le fonctionnement holistique du corps? Il n'explique pas non plus les nombreux cas de guérisons « miraculeuses » (et s'efforce qu'elles ne soient pas publiées).

Il n’est pas facile de se déprogrammer de la maladie, des diagnostics fatalistes des médecins, même si leur règne est récent.

L’erreur première de la médecine est d’avoir été échafaudée sur la dissection de cadavres. Prenons l’exemple d’une machine à coudre. Si elle est « malade » et que vous alliez la porter chez le réparateur, que fera-t-il? Va-t-il d’abord la démonter en morceaux et analyser chaque pièce? Bien sûr que non. La logique veut qu’il essaie la machine, pour comprendre son mal-fonctionnement. Il ne peut faire un diagnostic juste qu’en la voyant au repos. Il faut la faire fonctionner pour déterminer où est le mal.

À ses débuts, la médecine tirait la langue, tâtait le pouls, percutait, palpait la région du foie et de l’estomac, auscultait la poitrine et le dos du patient (oui, faut être patient pour supporter ces pratiques ingénieuses). Bien entendu, on en profitait pour déshabiller la femme et même l’agresser avec un spéculum. Oups! on le pratique encore! Et un médecin, aimant les petits garçons, a lancé l’idée de les faire tousser pendant qu’il lui tâtait les testicules! Oups! on le fait encore aussi!

On connaissait le nom des organes et leur emplacement, et le docteur se disait en mesure de juger de l’état de ceux-ci, bien entendu, parce que ses maîtres avaient fait des dissections. Puis, pour être plus crédibles, ils ont utilisé leur génie créateur pour inventer des appareils bien compliqués. Tout comme le théâtre de l’époque requérait de beaux et minutieux décors, et de nombreux accessoires pour envoûter les spectateurs, les docteurs déploient leurs instruments pour illusionner de la certitude absolue de leurs diagnostics.

Prenons juste comme exemple le thermomètre pour calibrer la température interne. Pourquoi avoir besoin d’un thermomètre pour savoir que l’on a de la fièvre? Combien de fois vous saviez-vous fiévreux et que vous avez tout de même consulté un thermomètre? Ridicule non? Oh, c’est vrai, on a établi la limite dangereuse. Au-delà de tel degré, les cellules du cerveau grillent! C’est la mort! Bien entendu, simplement parce qu’on a simplement pas compris le principe de surfermentation qui élève la température interne... car, elle n’était plus présente dans les cadavres étudiés minutieusement.

Et le bijou de la science, le stéthoscope! On veut entendre les bruits à l’intérieur! Comme si le voyeur-docteur pouvait épier les complots des bactéries et virus. Juste à se le pendre au cou donne de la prestance... un vrai accessoire de théâtre bien publicisé!

Puis, vient l’outil suprême, le microscope, qui, même de nos jours, joue un rôle très important. Depuis que Pasteur a accusé les bacilles d’être la cause de toutes les maladies, les hommes de science ne se lassent pas de les rechercher. Là encore, c’est par pure ignorance du concept de terrain favorable à leur présence et leur prolifération. Mais, tout leur génie scientifique ne pouvait pas analyser cela sur les cadavres!!! Car ces bacilles se foutent que vous soyez vivant ou mort, ils ont un travail à faire, soit décomposer la matière inutile, inerte. Et c’est, même pire lorsque la vie s’est retirée de votre corps, car il n’y a plus l’Énergie vitale pour déranger les bactéries à l’œuvre.

Le diagnostic du médecin fragmente le corps humain : on analyse et détermine l’état de ses composantes indépendamment. Il ne voit jamais la disposition générale du corps, sa vitalité, et s’il y touche dans son diagnostic, ce n’est que par une perspicacité subjective, ou par le témoignage du patient. Faites-vous examiner par plusieurs médecins, et vous verrez bien les conclusions différentes qu’ils émettent. Les médecins ont toujours été exaspérés face à la détermination du mal, à leur incertitude dans le diagnostic. Il n’y a rien d’étonnant qu’ils abandonnent leur expertise à des analyses de laboratoires : on cherche des bibittes depuis Pasteur! Et surtout ne videz pas votre poubelle, le Roi ne veut pas.

Puisque l’on a analysé les parties du corps indépendamment lors des dissections, la médecine allopathique croit que les différentes parties du corps sont affectées indépendamment les unes des autres. Et ainsi se sont formés tous ces spécialistes. On en consulte un pour les yeux, un pour les oreilles, un pour la gorge, un pour les poumons, un autre pour les organes génitaux... C’est un point de vue erroné que de considérer que des organes peuvent séparément devenir malades, indépendamment du reste du corps. Mais, c’est pourtant sur cette base que l’on prescrit des médicaments (on a même prescrit à une époque, de nombreux poisons virulents comme du mercure, du bromure, de l’iode, de la quinine, de l’antipyrine, et même de l’arsenic!).
Le diagnostic de la médecine est donc sans valeur.


Si toutes les maladies sont dues à un encombrement interne, alors pourquoi un diagnostic? Il suffirait naturellement d’observer chez la personne malade son état d’encombrement, ses déformations physiques révélant les dépôts majeurs, la prédominance des poisons dans ces dépôts, la présence de médicaments employés précédemment, s’il y a un organe ou des tissus endommagés et le degré de vitalité du patient.

Les symptômes révèlent toujours que le corps cherche à évacuer quelque chose qui lui nuit, qui l’intoxique. Pour comprendre alors ce qu’ils sont réellement, il faut apprendre comment ce « quelque chose » est entrée en lui et pourquoi. Si nous connaissons le processus du développement des maladies, peut-être serons-nous en mesure de diriger l’organisme dans le processus inverse. Mais avant tout, cette connaissance sert à prévenir le développement de toutes les maladies.

On se base sur des analyses, des chiffres pour justifier un diagnostic de l’existence d’un syndrome métabolique.

LE DIAGNOSTIC NATUREL
Il est possible de juger de la condition du corps, de déterminer la maladie qui sommeille en lui, de savoir s’il peut être guéri facilement. Le diagnostic naturel se base sur de simples observations logiques de ce que le corps intoxiqué (malade) révèle. Pour ce faire, nul besoin d’outils, d’appareils, d’analyses.

Bon, pour en revenir à un diagnostic logique et naturel. Une personne en santé est souriante, vive et optimiste, on dit même qu’elle a le teint frais. Les premiers signes du développement de la maladie se révèlent par un changement d’humeur : par une lassitude, une fatigue générale, souvent le sommeil est perturbé, la mauvaise humeur est fréquente, tout comme l’irritation, il y a comme une douleur morale qui plane. Il ne faut pas alors attendre que le malaise moral se transforme en malaises physiques. Et ce n’est pas pour rien que « humeur » signifie également, une substance liquide élaborée par l’organisme (souvent séreuse ou viciée). Si notre alimentation indigeste industrialisée force le corps à se défendre et à produire des humeurs corrompues, et nous ressentons un travail contre nature, du moins notre Conscience, celle qui affecte l’humeur.
Il faut d’abord considérer qu’il n’y a pas de maladie affectant uniquement une seule partie du corps. Ensuite, dans toutes les maladies on remarque que le corps s’est déformé, par exemple, une modification dans le maintien, particulièrement causée par une surcharge abdominale importante.
Nous avons vu l’importance des quatre émonctoires. Et la première analyse doit justement être orientée vers les quatre voies d’expulsion, pour en observer leur activité. Ce qui se passe à l’intérieur n’est pas déterminé par un thermomètre, un stéthoscope ou autre outil, mais bien en analysant (observant) ce qui est expulsé à l’extérieur, ce qui tente de l’être et ce qui attend d’être évacué.
Chez tous les malades, on remarque un problème au niveau de la respiration. Les malades étouffent littéralement. Cela est possible par le diaphragme qui n’est plus en mesure d’accomplir ces mouvements descendants et ascendants (manque de flexibilité, car encrassé, ou par la trop grande masse intestinale). Les poumons eux, sont enflammés d’avoir véhiculé de trop forte quantité de substances étrangères (souvent parce que la peau n’accomplissait pas son travail). Les poumons à force de se faire blesser, réduisent l’ampleur de leurs dilatations. L’état maladif interne provoque donc un affaissement de la cage thoracique. Les poumons sains doivent fonctionner sans difficulté et l’air doit être aspiré par le nez (le gardien naturel des poumons). L’habitude de respirer par la bouche, en marchant ou en dormant, est une preuve de maladie.
En ce qui concerne la peau, on la remarque très souvent très sèche chez les personnes malades. Sa coloration également se modifie (trop blanche, trop rouge, grise ou jaune). Toute odeur désagréable est signe d’une intoxication (qui n’a pas subit la répugnante odeur des mangeurs de viande). La peau doit être moite, mais pas humide; elle doit être tiède et d’une surface uniformément douce et élastique. La calvitie indique un corps fortement intoxiqué (la plupart des chauves puent de la tête et les conjointes n’osent le dire). Les pieds suants et les mains moites sont des signes d’intoxication. Lorsqu’il y a une plaie, c’est que le dépôt est très important et que la fermentation de ses substances est intense.
L’état des reins s’observe par leur sécrétion, l’urine. Uriner ne doit occasionner aucune douleur. L’urine ne doit pas être d’une température trop élevée, ce qui est le signe d’une surfermentation interne, toute comme la sensation de brûlure. Sa couleur est jaune ambré et ne peut être incolore, ni sanguinolente, noirâtre, ou nuageuse. S’il y a douleur en urinant, c’est causé par des dépôts de « sable ». Son odeur ne peut être ni prononcé, ni aigre.
En dernier, les selles d’une personne saine sont de forme cylindrique, fermes, mais pas dures, et quittent le corps sans le souiller. Les selles ne doivent jamais être liquides, ce qui est un signe de maladie latente. La diarrhée se présente dans le cas où les intestins fonctionnent encore suffisamment pour expulser les évacuations (expulsées avant d’avoir pris la forme qui leur est propre). La constipation résulte de la sécheresse des muqueuses (les déchets ne peuvent plus être évacués, se dessèchent et durcissent). Bien entendu, l’observation de parasites informe qu’il y a dépôts anciens prisonniers dans les intestins. Des excréments noirâtres, durs révèlent une indigestion, une surfermentation. Et vous le savez très bien à présent, c’est par cette dernière que se propage la maladie dans le corps, créant des dépôts dans diverses parties, ce qui provoque des déformations.
Un corps en santé est harmonieux, possédant des proportions agréables. L’homme de Vitruve, repris par Leonardo da Vinci, est un exemple de la perfection humaine. La tête doit être de dimension modérée, le cou ni trop long, ni trop court, les épaules alignées horizontalement, la poitrine bombée, l’abdomen musclé et non proéminent, le buste pas trop étiré, les jambes solidement bâties, sans arcures. Le visage d’une personne saine se remarque par une couleur ni pâle, ni jaune, ni trop rouge, une chevelure abondante, un front lisse non ridé, la peau est lisse, les yeux clairs, non veineux, sans cernes, le nez n’est pas trop gros, ou rouge, la bouche reste close, les lèvres ne sont pas trop enflées ou trop minces, la figure est ovale, le menton rond et non pointu, et le derrière de la tête est séparé du cou.
La démarche d’une personne révèle aussi son intoxication interne. Vous vous souvenez de l’image du lourd sac à dos qui ralentit votre marche et vous fatigue... et bien, il modifie également votre démarche et votre alignement. Il en est de même des dépôts internes, surtout que les substances étrangères se logent surtout dans les articulations. Le libre mouvement est difficile lorsqu’il y des grains de sable dans la mécanique.

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